dwarfoscar

Porcupine's lament

Samedi 10 octobre 2009 à 21:10



Je continue, après System of a Down, dans mon ressassement des vieilleries lycéennes, ces groupes qu'on se sent un peu obligés d'écouter pour pouvoir suivre les conversations, mais qu'on se surprend à aimer au final. Je n'ai pas échappé à Rammstein (comment aurais-je pu !?), et, si tout ceci est maintenant de l'histoire ancienne, "Seemann" est encore imprimé dans mon système nerveux, et pour longtemps encore.

Samedi 10 octobre 2009 à 21:16



Ressassement lycéen n°3. Du Maiden "old school", avant l'arrivée de cette follasse de Dickinson, et avec au micro un jeunot qui n'a pas peut-être pas la virtuosité musicale de son successeur, mais dont le chant fait peut-être transparaitre d'avantage d'émotions. Une voix qui en tout cas sied parfaitement à "Remember Tomorrow", où la Vierge de Fer insuffle un peu de mélancolie et de noirceur entre deux riffs.

Samedi 10 octobre 2009 à 21:28



In a metal mood, assurément... Il me semblait l'avoir déjà postée, celle-ci, et en fait non. Sanglante Injustice. Une des meilleurs chansons de Type O Negative, alchimie parfaite de violence et de contemplation, sans les travers "metal gothique rose bonbon" dans lesquels le groupe de vautre parfois...

Mardi 26 janvier 2010 à 14:05

http://images.uulyrics.com/cover/r/riverside/album-second-life-syndrome.jpg


Si seulement tous les groupes de metal progressif étaient comme Riverside... Si, tous, ils utilisaient leur talent et leur goût pour les structures alambiqués uniquement pour la création de morceaux cohérents, où l'auditeur voyage réellement, plutôt que de rester à quai en disant "ah ouais, quand même ils se débrouillent bien".
Riverside se débrouille bien, mais on ne formule pas cette phrase. On se contente de plonger...

Mercredi 3 février 2010 à 15:55



La toute fin de From Mars to Sirius. Et son apogée. Là où la puissance de Gojira et son habileté mélodique se mêlent le mieux.

Mardi 3 août 2010 à 1:40



Ok, ce n'est certes pas la plus représentative du groupe. De toute façon, n'importe quel morceau "représentatif" de Napalm Death a de fortes chances de me taper sur les nerfs. Sur Diatribes, les pères du grind s'essaient à des sonorités plus death metal, voire légèrement indus, avec ce fabuleux "Cold Forgiveness", où Barney Greenway s'amuse à jouer les crooners d'outre-tombe.

Mardi 3 août 2010 à 1:50



Si Manson a réussi à faire tant parler de lui depuis ses débuts, ce n'est pas vraiment par sa musique, avouons-le. Mis à part, un Antichrist Superstar excellent, monument de glauquitude saupoudrée d'une pointe d'ironie, tous ses autres albums s'avèrent franchement bancals. Ce rictus, qui faisait tout le charme d'Antichrist Superstar, Manson l'abandonne dans Mechanical Animals : il veut nous faire pleurer, cette fois-ci. Peine perdue : Brian Warner doit se débrouiller avec ses capacités vocales somme toute limitées. Il n'en reste pas moins que quelques perles émaillent cet album. "Fundamentally loathsome", assez ovniesque, est mon morceau préféré de Manson, cette sorte de valse macabre et acidulée, qui peu à peu monte en puissance pour un final éblouissant.

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