dwarfoscar

Porcupine's lament

Mardi 24 février 2009 à 17:48



Les noms de groupes à rallonge sont à la mode: I Love You but I've Chosen Darkness, You Say Sarty We Say Die, Clap Your Hands Say Yeah!... On peut craindre des groupes bavards. Ce n'est pas le cas ici: l'approche est simple, directe, l'ombre de Joy Division plane. A suivre.

Mardi 24 février 2009 à 17:50



Quand on parle du loup. Autre exemple de la chanson futile et merveilleuse...

Mercredi 25 février 2009 à 13:34



Une musique constituée de bric et de broc, sur presque rien. Une seule note à la basse, une voix monocorde au possible... Puis tout s'envole. Liars ou la réinvention du psychédélisme.

Mercredi 11 mars 2009 à 10:38



Fugazi n'est pas toujours un groupe facile d'accès. Héritier d'un post-punk à la Sonic Youth, le groupe s'est intéressé à la dissonnance et aux morceaux qui rebutent au premier abord. On est punk ou on ne l'est pas. Mais leur dernier album est de loin leur plus accessible, et à mon goût le plus efficace. Fugazi se souvient qu'il y a des gens qui écoutent leur musique et qui aimeraient remuer la tête parfois. Voila qui est chose faite.

Lundi 20 juillet 2009 à 15:17

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Nick Cave est-il grand ? Si tellement de gens le disent, il doit y avoir une part de vérité. Je ne connais pas assez bien son oeuvre pour porter de jugement, n'ayant écouté que ce Tender Prey, trop inégal à mon goût. Mais quand monsieur Cave nous pond un morceau comme "The Mercy Seat", oui, il est grand, indéniablement grand.

Vendredi 31 juillet 2009 à 3:03

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Le math rock a tout pour me déplaire. La majorité des artistes affiliés à cette scène  que j'ai eu l'occasion d'entendre me donnent l'impression d'extra-terrestres qui intellectualisent beaucoup trop leur musique. De véritables virtuoses, certes, mais qui oublient avec leurs têtes remplies d'équations que la musique reste avant tout cette chose viscérale qui déborde du cerveau pour envahir tout le système nerveux. Mais cette chanson d'Uzeda (la seule que je connaisse d'eux en fait), en épurant le math rock de toutes ses boursouflures, retrouve une certaine forme d'évidence, de pureté. Le voyage peut alors commencer.

Lundi 26 octobre 2009 à 0:13

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Side-project de Colin Newman, le frontman du groupe culte Wire (sur lequel il faudrait tout de même que je pose mes oreilles un de ces jours). Le post-punk dans sa version mélancolique, magnifié par des guitares ciselées d'or.

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