dwarfoscar

Porcupine's lament

Mardi 8 septembre 2009 à 1:02

http://www.connollyco.com/discography/laurie_anderson/mister_hi.jpg


Un petit morceau de madame Lou Reed. Pas grand chose à voir avec la mélancolie velvetienne de son mari... Laurie Anderson construit un petit bricolage sonore à la désuétude charmante, un peu à l'image de la pochette. Mais les émotions qui surgissent de "Blue Lagoon" sont elles la marque du réel talent de la dame malgré un apparent dilettantisme ? Où sont-elles simplement des émanations chimiques imprévues d'une mélodie bancale? Je ne le saurai sans doute jamais...

Mardi 8 septembre 2009 à 14:03



Cet article me permettra de parler de deux coups de coeur. Tout d'abord de Serial Experiments Lain. Je ne suis pas très familier au monde du manga ou de l'anime, mais cette série m'a mis à terre. Une sorte de cauchemar lynchien dans le monde de la cybernétique, avec un questionnement sur l'identité et la paranoïa. Je la conseille à tous ceux qui apprécient les oeuvres dans lesquelles on se perd. Et je parlerai aussi de la musique d'ouverture, une magnifique chanson pop (ce qui nous change des génériques d'animes pour la plupart merdiques) d'un groupe anglais aujourd'hui oublié, Bôa.

Mercredi 16 septembre 2009 à 23:00



Parce que j'ai été au lycée, comme tout le monde... J'ai l'immense privilège d'avoir été initié au metal grâce à des groupes dont je n'ai pas honte aujourd'hui, contrairement à ceux qui essaient de cacher (stupidement ?) qu'ils ont un jour été fan de Linkin Park et Limp Bizkit. Qu'on ait 16 ou 61 ans, il est impossible de ne pas voir à quel point System of a Down surnageait de loin dans le marasme néo-metal.

Dimanche 20 septembre 2009 à 16:02

http://10thirty.files.wordpress.com/2009/02/vauxhall-and-i.jpg


Morrissey et the Smiths ont tout pour me déplaire. Une musique pseudo-fédératrice qui a fait vibrer des milliers de personnes et dans laquelle je ne parviens pas à me retrouver une seconde. Enfin, une seconde... Si, je peux m'y retrouver pendant quelques minutes sorties de nulle part. Pendant "Spring-Heeled Jim" par exemple.

Dimanche 20 septembre 2009 à 16:06

http://lh4.ggpht.com/xiaoyemaoflm/SKOqoQNLBTI/AAAAAAAAEw8/xHLyot9Hpbk/s800/R-544990-1142961589.jpg


L'horreur dénudée. Pur et froid comme un os raclé, dont la blancheur parfaite nous crève les yeux.

Samedi 26 septembre 2009 à 0:27

http://www.krinein.com/img_oc/big/5482.jpg


Noirs les arbres et noir le ciel... Pas de mystère à propos de la couleur qui baigne la musique de (feu ?) Jack the Ripper. Rarement le noir aura été aussi beau, aussi lumineux en somme. 8 instruments, voix, guitares, basse, synthé, batterie, trompette, violon, qui se complètent à la perfection, tissant leurs noires trames sans jamais s'empiéter les uns les autres.

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