dwarfoscar

Porcupine's lament

Dimanche 15 février 2009 à 19:04



Aujourd'hui, ça peut donner ça, par exemple

Lundi 23 février 2009 à 18:20



Aaron Funk, grand artiste d'electro, se met à voir grand et à incorporer des samples orchestraux à ses beats névrotiques. Le résultat est incroyable d'harmonie et de fusion.

Mardi 24 février 2009 à 9:48



Chanson épique de Juno Reactor pour la BO de Matrix, avec une puissance décuplée par l'orchestre de Don Davis.

Mardi 24 février 2009 à 10:06



On peut détester le black metal pompeux des norvégiens de Dimmu Borgir. Il n'empêche qu'ils sont ceux qui au fil des années ont produit le black symphonique le plus impressionnant de maîtrise. Le talent de composition est là, réel. Le genre de chanson qui donne envie d'envahir la Pologne, a dit Woody Allen (mais pas au sujet de celle-ci).

Mercredi 25 février 2009 à 13:52



La rockeuse égérie des Rolling Stones rencontre Angelo Badalamenti,  l'un des plus grands compositeurs de musique de film, qui a étroitement collaboré avec David Lynch. D'où l'aspect très "cinématographique" de l'album A Secret Life. Triste et envoûtante, cette chanson ne dépareillerait pas dans la BO de Mulholland Drive ou Twin Peaks.

Vendredi 27 février 2009 à 20:29



Scott Walker était dans les années 60 un crooner réputé, qui allait même jusqu'à faire de l'ombre à Frank Sinatra. Il continue aujourd'hui à faire des albums. Mais inutile de chercher la musique dansante et érotique que l'on peut attendre d'un crooner. Walker expérimente, la musique se fait inquiétante, pesante, avec une orchestration sublime en évocations colorées: violet sombre, brun poussiéreux. Noir. Un exemple de reconversion réussie.

Vendredi 27 février 2009 à 20:49



La naissance d'une voix. Epique chanson issue du premier album de Sinéad O'Connor, sans aucun doute l'une des plus grandes chanteuses de rock du XXème, aux capacités vocales exceptionnelles qui ne sombrent jamais dans la démonstration technique

Mardi 10 mars 2009 à 15:35



Un live, une fois n'est pas coutume. Mais qui ressemble trait pour trait à la version studio à ce point que ça en devient, au mieux fascinant, au pire douteux. Mais on s'en fout après tout. Amphytrion prouve que le symphonique a encore de belles heures devant lui. Mais un symphonique très discret, qui privilégie la dissonance de la musique contemporaine plutôt qu'un néoclassicisme mièvre. Et c'est suffisamment rare pour le remarquer.

Lundi 20 juillet 2009 à 15:03

http://4.bp.blogspot.com/_oB_V0ay-O6Q/Rtzkgf3oFRI/AAAAAAAAAbM/ICpfEMjH-WE/s320/356ce08e8e51b7da14c39518ef1eb5a8_full.jpg


Le rituel prend place... Chez Rosa Crux, la musique prend autant de place que le visuel, dans des concerts-concepts semblables à des cérémonies ésotériques. Je ne puis pour ma part que vous proposer le versant musical, mais c'est largement suffisant pour prouver le perfectionnisme et le talent de ce groupe français.

<< Page précédente | 1 | Page suivante >>

Créer un podcast