dwarfoscar
Porcupine's lament
dwarfoscar
Porcupine's lament
Lundi 26 avril 2010 à 0:33
Le Shoegaze est honteusement sous-traité dans ses pages. Plutôt que de vous une bloody-valentinerie de base, intéressons-nous plutôt à Catherine Wheel, groupe injustement méconnu et parti trop tôt, et qui propose un shoegaze électrisé et électrisant, d'une puissance phénoménale.
Lundi 26 avril 2010 à 0:42
Ouais, mais les Japonais sont cinglés, tu vois... etc, etc. Voilà un cliché qui n'a pas épargné ma langue ces dernières années. Réduire la musique japonaise à ces hurluberlus de la noise qui frappent sur des tambours en balançant des mélopées incompréhensibles, j'en ai été coupable. Quoi qu'il en soit, avec des groupes comme Koenjihyakkei, il faut se rendre à l'évidence : il y a au Japon de ces groupes dont la folie n'a d'égale que la maitrise, et dont les chansons épilectico-hystériques sont un régal.
Lundi 26 avril 2010 à 0:51
Ce qui manque à énorme de groupes dans la gadoue post hardcore/emo/screamo, c'est tout simplement le talent de mélodiste. Beaucoup se contentent de quelques arpèges ou mélodies simplistes pour remplir la partie "émotion" de leur cahier des charges. Impure WIlhelmina est d'une autre trempe. Leur musique est belle a en pleurer. Enlevez les phases d'accalmie, et çà donne un formidable groupe de hardcore. Enlevez les grosses guitares, et ca donne un formidable groupe de pop.